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Droits de douane : «les filières économiques» seront réunies à Bercy mercredi, annonce le ministère de l'Économie
Droits de douane : «les filières économiques» seront réunies à Bercy mercredi, annonce le ministère de l'Économie

Le Figaro

time2 days ago

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Droits de douane : «les filières économiques» seront réunies à Bercy mercredi, annonce le ministère de l'Économie

Le ministre de l'Économie, Éric Lombard, et celui des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, réuniront mercredi à Bercy «les filières économiques» pour évoquer «les conséquences» de l'accord intervenu dimanche entre l'UE et les États-Unis sur les droits de douane, a annoncé le ministère de l'Économie. La réunion, qui se tiendra en début d'après-midi, rassemblera les organisations patronales ainsi que les fédérations représentant les filières industrielles «impactées par les droits de douane américains», a précisé le ministère dans un communiqué.

Palestine : à quoi sert la conférence de l'ONU, coprésidée par la France, sur la solution à deux États ?
Palestine : à quoi sert la conférence de l'ONU, coprésidée par la France, sur la solution à deux États ?

Le Parisien

time2 days ago

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Palestine : à quoi sert la conférence de l'ONU, coprésidée par la France, sur la solution à deux États ?

Il y aura de grands absents. Mais le Français Jean-Noël Barrot, lui, sera bien là. Ce lundi, les Nations Unies se penchent sur la solution à deux États - Israël et Palestine - à l'occasion d'une conférence au niveau ministériel sur le sujet, alors que la pression internationale s'intensifie sur l'État hébreu face à la situation humanitaire dramatique dans la bande de Gaza . Avant un grand sommet attendu en septembre, coprésidé par la France et l'Arabie saoudite, un premier segment au niveau ministériel s'ouvre à New York ce lundi. Il doit durer deux jours. La conférence convoquée par l'Assemblée générale des Nations unies, devait avoir lieu en juin. Mais elle a été reportée en raison de la guerre déclenchée par Israël contre l'Iran . Le ministre français des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot, tiendra une conférence de presse commune avec son homologue saoudien au quartier général des Nations Unis ce lundi à la mi-journée (18h30 heure de Paris). Il sera ensuite « à la tribune de l'ONU pour annoncer » la volonté française de reconnaître l'État de Palestine formellement en septembre, comme l'avait dévoilé Emmanuel Macron jeudi dernier, a fait savoir le ministre chargé du Commerce extérieur et des Français de l'étranger, Laurent Saint-Martin, sur France Inter ce lundi. Sont également attendus le Premier ministre palestinien, Mohammad Mustafa, et plusieurs dizaines de ministres du monde entier. En tout, les représentants de plus de 100 pays devraient prendre la parole. En revanche, ni Israël, ni les États-Unis ne seront présents. Alors que la conférence semblait « vouée à l'insignifiance », « l'annonce de Macron change la donne », a estimé auprès de l'AFP Richard Gowan, analyste à l'International Crisis Group. « D'autres participants vont réfléchir à la hâte pour savoir s'ils doivent aussi déclarer une intention de reconnaître la Palestine », a-t-il expliqué. Le ministre français des Affaires étrangères a d'ailleurs affirmé dans un entretien à l'hebdomadaire La Tribune Dimanche que d'autres pays européens confirmeraient « leur intention de reconnaître l'État de Palestine » lors de la conférence, sans préciser lesquels. La réunion intervient à un moment où la solution à deux États est à la fois « plus affaiblie que jamais », mais aussi « plus nécessaire que jamais », a commenté une source diplomatique française. Au-delà de créer une dynamique pour la reconnaissance de l'État palestinien, la conférence se concentrera sur trois autres axes : la réforme de la gouvernance de l'Autorité palestinienne, le désarmement du Hamas et son exclusion de la gouvernance palestinienne, et enfin la normalisation des relations avec Israël par les États arabes qui ne l'ont pas encore fait. Mais la source diplomatique a prévenu qu'aucune annonce de normalisation avec Israël n'était attendue la semaine prochaine. La conférence « offre une opportunité unique de transformer le droit international et le consensus international en un plan réaliste, et de prouver la détermination de mettre fin à l'occupation et au conflit une fois pour toutes », a plaidé cette semaine l'ambassadeur palestinien à l'ONU Riyad Mansour, réclamant du « courage ». Après l'épisode ministériel de ces lundi et mardi, un sommet devrait suivre en septembre.

La France œuvrera «sans relâche» pour convaincre d'autres pays de reconnaître la Palestine, assure Jean-Noël Barrot
La France œuvrera «sans relâche» pour convaincre d'autres pays de reconnaître la Palestine, assure Jean-Noël Barrot

Le Figaro

time3 days ago

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La France œuvrera «sans relâche» pour convaincre d'autres pays de reconnaître la Palestine, assure Jean-Noël Barrot

Pour le ministre des Affaires étrangères, la décision d'Emmanuel Macron de reconnaître l'État de Palestine incitera les pays arabes à condamner «pour la première fois» le Hamas et à demander son désarmement. «La perspective de l'existence d'un État de Palestine n'a jamais été aussi menacée ni aussi nécessaire.» Ce dimanche 27 juillet, Jean-Noël Barrot défend dans les pages de la Tribune Dimanche la reconnaissance à venir de l'État palestinien par la France. Trois jours après l'annonce du président d'une reconnaissance formelle par la France d'un État de Palestine lors de l'Assemblée générale des Nations unies, le ministre des Affaires étrangères justifie la décision d'Emmanuel Macron, très mal reçue en Israël, accueillie de manière contrastée par ses alliés européens, en invoquant une situation inédite depuis les accords d'Oslo. Ceux-là, conclus en 1993 par le chef de l'organisation de libération de la Palestine (OLP), Yasser Arafat et le premier ministre israélien Yitzhak Rabin, devaient préparer à une autonomie palestinienne. Soumis à plusieurs conditions dont le rejet du terrorisme par l'OLP, ils n'ont pas abouti. Au regard de ces exigences initiales, la reconnaissance de l'État palestinien alors que des otages du 7 Octobre sont toujours détenus par le Hamas peut passer pour une contradiction. Publicité «Cette décision légitime les massacreurs du 7 Octobre et leur cortège de souffrances» a ainsi estimé Marine Le Pen. Pas du tout, estime Jean-Noël Barrot pour qui ces deux sujets peuvent se mener de front. «Le Hamas doit être désarmé et exclu durablement de toute gouvernance de Gaza et de la Palestine. L'Autorité palestinienne doit être profondément réformée. Les pays arabes doivent normaliser leur relation avec l'État d'Israël et construire avec lui une architecture commune de sécurité», détaille-t-il à nos confrères de La Tribune . À Netanyahou qui lui reproche «d'encourager la terreur», Barrot répond : «Je renvoie le premier ministre israélien à son discours de Bar-Ilan de 2009 dans lequel il définissait les conditions d'une solution à deux États. Ces conditions ne sont ni plus ni moins que celles que nous avons mises sur la table.» Comment s'étonner de la faiblesse de l'Autorité palestinienne quand on la prive de 2 milliards d'euros ? Jean-Noël Barrot Pour mettre fin au conflit à Gaza, Barrot considère que le levier le plus puissant est entre les mains de l'Union européenne. Qui doit, poursuit-il, «exiger la levée du blocus financier et le paiement des sommes dues à l'Autorité palestinienne par Israël». Soit deux milliards d'euros. Les accords d'Oslo prévoyaient en effet la collecte par l'État hébreu des taxes sur les importations et exportations palestiniennes transitant par ses ports et frontières. Lesdites taxes devaient ensuite être reversées à l'Autorité Palestinienne pour financer son budget, le traitement des fonctionnaires par exemple. Ces transferts de fonds ont régulièrement été gelés par Tel Aviv, pour des motifs politiques ou par crainte qu'ils ne financent le Hamas. «Comment s'étonner de la faiblesse de cette Autorité quand on la prive de 2 milliards d'euros ?» demande Jean-Noël Barrot. Un État qui sera désarmé D'ici au 21 septembre, date de l'annonce officielle à l'Assemblée générale de l'ONU, la France œuvrera «sans relâche pour réunir d'autres pays susceptibles de reconnaître la Palestine, et de nouveaux engagements des pays arabes vis-à-vis de la sécurité d'Israël» assure le ministre. À l'en croire, le fait que notre pays soit le premier du G7 à franchir ce pas entraînera les autres et convaincra les pays arabes à condamner «pour la première fois» le Hamas et à demander son désarmement. Le ministre affirme que ces annonces pourraient avoir lieu dès cette semaine lors de la conférence qui se tient lundi et mardi à New York sous l'égide des Nations unies. Pour que l'État de Palestine soit viable et ne reste pas une promesse symbolique, le ministre des Affaires étrangères attend un certain nombre d'engagements de la part de l'Autorité palestinienne. En premier lieu desquels le respect de la sécurité d'Israël. Comme preuve de sa bonne volonté, Jean-Noël Barrot cite cette lettre envoyée par Mahmoud Abbas en juin au président Macron. Le chef de l'autorité palestinienne a «pour la première fois qualifié le 7 octobre 2023 d'attentat 'terroriste'» et accepté «que cet État de Palestine soit démilitarisé» afin de ne présenter «aucune menace pour la sécurité d'Israël», se félicite le ministre des Affaires étrangères.

Guerre à Gaza: Plusieurs pays européens vont reconnaître la Palestine, affirme Paris
Guerre à Gaza: Plusieurs pays européens vont reconnaître la Palestine, affirme Paris

24 Heures

time3 days ago

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Guerre à Gaza: Plusieurs pays européens vont reconnaître la Palestine, affirme Paris

Selon le ministre français des Affaires étrangères, plusieurs pays européens confirmeront bientôt qu'ils reconnaîtront l'État de Palestine à l'ONU, dans le sillage de la France. Publié aujourd'hui à 23h13 Mis à jour il y a 13 minutes Le ministre français de l'Europe et des Affaires étrangères, Jean-Noël Barrot. AFP Des pays européens «confirmeront leur intention de reconnaître l'État de Palestine» lors d'une conférence de l'ONU lundi et mardi à New York, dans le sillage de la France qui a annoncé qu'elle le fera en septembre, affirme le ministre français des Affaires étrangères. Lors de cette conférence coprésidée par la France et l'Arabie saoudite visant à relancer l'idée d'une solution à deux États au Moyen-Orient, «pour la première fois, les pays arabes condamneront le Hamas et appelleront à son désarmement, ce qui consacrera son isolement définitif», assure également Jean-Noël Barrot, dans un entretien à l'hebdomadaire «La Tribune Dimanche». Le ministre n'a pas précisé quels pays entendaient rejoindre le groupe des États européens ayant déjà reconnu l'État de Palestine ou étant en passe de l'être, qui compte notamment l'Espagne, l'Irlande, la Pologne, la Suède et la France. Cette dernière deviendra le premier pays du G7 à le faire lors de la prochaine Assemblée générale de l'ONU. Sommet en septembre Le Premier ministre britannique Keir Starmer a répété vendredi qu'une reconnaissance par Londres devait «s'inscrire dans un plan plus global», et Berlin a dit ne pas l'envisager «à court terme». Une conférence sur une solution à deux États était initialement prévue en juin au plus haut niveau, mais avait été reportée en raison de la guerre entre l'Iran et Israël. Une première réunion au niveau ministériel commence lundi à New York, avant un sommet attendu en septembre. «La perspective de l'existence d'un État de Palestine n'a jamais été aussi menacée ni aussi nécessaire», dans le contexte de «la destruction de la bande de Gaza, la colonisation israélienne débridée en Cisjordanie qui fragilise l'idée même d'une continuité territoriale, la résignation de la communauté internationale», estime Jean-Noël Barrot Barrot. «Penser obtenir un cessez-le-feu durable et la libération des otages du Hamas et sa reddition sans avoir préalablement dessiné une perspective politique est illusoire», ajoute-t-il. «Avec l'Arabie saoudite» À New York, «avec l'Arabie saoudite, acteur majeur de la région, nous présenterons une vision commune pour ''l'après-guerre'' en vue d'assurer la reconstruction, la sécurité et la gouvernance de Gaza et d'ouvrir ainsi la voie à la solution à deux États», affirme-t-il. «Notre démarche est parfaitement compatible avec la logique des accords d'Abraham», qui ont vu en 2020 Bahreïn, les Émirats arabes unis, le Maroc et le Soudan établir des liens formels avec Israël, et «facilitera, le moment venu, la conclusion de nouveaux accords portés par l'administration américaine», estime-t-il. Selon le décompte et les vérifications de l'AFP, au moins 142 des 193 États membres de l'ONU (dont la France) reconnaissent désormais l'État palestinien proclamé par la direction palestinienne en exil en 1988. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Guerre à Gaza : la communauté internationale de plus en plus inquiète pour les civils
Guerre à Gaza : la communauté internationale de plus en plus inquiète pour les civils

Le Parisien

time22-07-2025

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Guerre à Gaza : la communauté internationale de plus en plus inquiète pour les civils

Depuis le début de la guerre, des voix s'élèvent ponctuellement. Mais ces derniers jours, elles se font de plus en plus fortes. La communauté internationale s'inquiète de la nouvelle offensive terrestre lancée par Israël sur le centre de la bande de Gaza. Ce mardi, au lendemain du début des opérations à Deir al-Balah où l'armée israélienne a prévu d'aller dans des zones où elle n'était, jusqu'ici, « jamais intervenue », l'ONU a alerté sur le risque « extrêmement élevé » de violations graves du droit international. « Ces frappes aériennes et opérations terrestres israéliennes entraîneront inévitablement de nouvelles pertes civiles et la destruction d'infrastructures civiles », a estimé le Haut-Commissaire de l'ONU aux droits de l'homme, Volker Türk. Quelques heures plus tôt, le ministre des Affaires étrangères français, Jean-Noël Barrot, avait déjà condamné « avec la plus grande fermeté » la « déplorable » extension de l'offensive israélienne à Gaza lancée lundi, « qui va aggraver une situation déjà catastrophique ». Après 21 mois de guerre, l'ONU et des ONG s'inquiètent des risques de famine sur le territoire . Lundi, l'agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens (Unrwa) s'est alarmée d'une malnutrition grandissante dans le territoire. « Levez le siège et laissez l'aide humanitaire entrer », a-t-elle imploré. Ce mardi, un hôpital de l'enclave a affirmé que 21 enfants étaient morts de malnutrition et de faim en 72 heures. Le patriarche latin de Jérusalem, Pierbattista Pizzaballa , qui s'est rendu à Gaza, a affirmé à des journalistes avoir « vu des hommes attendre pendant des heures sous le soleil dans l'espoir d'un simple repas », a déclaré celui qui représente la plus haute autorité catholique de Terre Sainte. « C'est moralement inacceptable et injustifiable », a-t-il ajouté. Un avis partagé par le président turc, Recep Tayyip Erdogan. Ce mardi, il a lui aussi jugé « inacceptable » que les Palestiniens de la bande de Gaza meurent « chaque jour parce qu'ils ne trouvent pas un morceau de pain ou une gorgée d'eau ». Cette inquiétude s'ajoute aux récits de plus en plus nombreux d'habitants de Gaza visés par des tirs alors qu'ils tentent de récupérer de l'aide humanitaire dans les points de distribution . Dimanche, la Défense civile du territoire palestinien a rapporté que des tirs israéliens sur des personnes « attendant de l'aide » avaient fait plus de 90 morts . L'ONU a recensé 1 054 personnes tuées alors qu'elles tentaient d'obtenir de la nourriture, dont 766 « à proximité des sites » de la fondation GHF, soutenue par les États-Unis et Israël. Tuer des civils cherchant de l'aide « est indéfendable », a réagi la cheffe de la diplomatie de l'Union européenne, Kaja Kallas, après un entretien avec le ministre israélien des Affaires étrangères, Gideon Saar, ce mardi. « J'ai clairement indiqué que l'armée israélienne devait cesser de tuer des personnes aux points de distribution » d'aide humanitaire, a-t-elle insisté.

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